À la découverte de mes ancêtres Bretons

Variantes patronymiques au fil du temps

Généalogie familiale

DEFFIN-DEFEIN-DEFFAIN-DEFFAINT …

La généalogie, c’est l’histoire de nos ancêtres, leurs peines, leurs joies, leurs réussites et leurs échecs.
La famille DEFFIN de Loudéac est un exemple de persévérance et d’héritage, qui nous rappelle que nous sommes tous le produit de ceux qui nous ont précédés.

La famille DEFFIN a vécu une histoire laborieuse et agitée à Loudéac.

Au cœur de la Bretagne se trouve la ville de Loudéac, qui a été le berceau de mes ancêtres Bretons pendant des siècles.

Ils y ont vécu en tant que laboureurs et tisserands, travaillant dur pour subvenir aux besoins de leur famille et de leur communauté.
L’histoire de Loudéac est étroitement liée à celle de la Bretagne elle-même, marquée par des événements importants tels que la guerre de succession de Bretagne dit la guerre des deux Jeanne pendant la guerre de 100 ans, ensuite la Révolution française.
Mes ancêtres ont vécu ces soubresauts de l’histoire de leur ville et ont travaillé sans relâche pour survivre dans un environnement difficile au cours des siècles.

Les tisserands, ont contribués à la prospérité de Loudéac en produisant des tissus de haute qualité qui étaient exportés vers d’autres régions de France et même à l’étranger.

Tisserands: Leurs compétences étaient très appréciées et ils ont réussi à maintenir une tradition textile florissante dans leur ville.

En visitant Loudéac, j’ai eu l’occasion de découvrir l’héritage de mes ancêtres Bretons et de mieux comprendre leur mode de vie et leur travail.

J’ai pu admirer les maisons anciennes en pierre et les rues pavées qui ont vu mes ancêtres vaquer à leurs occupations quotidiennes.
J’ai également visité des sites et des expositions qui racontent l’histoire de la ville et de ses habitants.

En fin de compte, la découverte de mes ancêtres Bretons dans cette bonne ville de Loudéac a été une expérience enrichissante qui m’a permis de mieux comprendre mes racines et l’histoire de ma famille.

Je ressens de la fierté envers mes ancêtres pour leur apport à Loudéac ainsi qu’à la communauté.

Le métiers de tisserand

Tisser autrefois

Autrefois, en Bretagne, le métier de tisserand était très courant car la région produisait beaucoup de toiles de lin et de chanvre.

Il y avait deux types de tisserands : ceux qui travaillaient pour les clients locaux et ceux qui exportaient leurs produits.

Les premiers recevaient le fil de leurs clients, le pesaient et annonçaient le métrage de toile qu’ils en tireraient.

Ils étaient payés en argent ou en nature pour leur travail, qui produisait souvent une toile grossière utilisée pour les vêtements de tous les jours.

Les seconds achetaient leur fil sur le marché et vendaient leur toile aux toileux pour l’exportation.

Des règlements précisaient la largeur et le nombre de fils de chaîne pour chaque toile.

Le travail d’un tisserand commençait par la mise en bobines du fil, suivi de l’ourdissage pour préparer les écheveaux et l’enfilage pour passer les fils dans les lisses et dans le peigne.

Ensuite, le tisserand nouait les fils à l’ancienne chaîne, un processus qui pouvait prendre beaucoup de temps.
Enfin, le tissage commençait avec le lancement de la navette et l’entrecroisement des fils de trame avec les fils pairs et impairs de la chaîne.

Le métier de tisserand était principalement masculin, bien que quelques femmes le pratiquaient également.

Les journées étaient longues, du lever au coucher du soleil, dans de petites maisons où l’espace était réservé au métier.

Les tisserands aimaient leur métier malgré les conditions difficiles et certains ont choisi de vivre dans la pauvreté plutôt que de l’abandonner.

Aujourd’hui, les métiers de tisserand sont devenus rares et sont surtout préservés dans les musées, bien que quelques artisans continuent de pratiquer cette profession.

Les tisserands ont créé de belles toiles dans le passé et les chansons qu’ils chantaient pendant leur travail étaient souvent liées à leur métier.

En résumé

Bien qu’ils aient assisté aux événements historiques qui ont marqué la ville et la région, il convient de souligner que leur rôle n’était que secondaire.
Ils ont vu l’essor de l’industrie textile, mais aussi son déclin avec la révolution industrielle.
Ils ont également connu les persécutions anticléricales de la Révolution française, ainsi que les changements politiques qui ont transformé Loudéac.
Malgré les vicissitudes de l’histoire, la famille DEFFIN s’est enraciné dans cette ville sur plusieurs générations.

La paléographie nous aider à comprendre un acte

Loudéac et son histoire

Autrefois, une simple rencontre pour chasser dans la forêt de Brocéliande, la fondation de Loudéac n’a été reconnue que vers le XIe siècle.

Cette ville était célèbre pour ses foires et marchés au Moyen Âge et était sous le contrôle des vicomtes de Rohan pendant une longue période.

La forêt Saint Guillaume de Loudéac

Découvrez l’histoire de Loudéac, ville médiévale sous le contrôle des ducs de Rohan

Loudéac a été fondée en tant que ville au XIe siècle et est devenue célèbre rapidement pour ses foires et marchés.

Pendant une longue période, la ville était sous le contrôle des ducs de Rohan.
Elle a obtenu le titre de paroisse en 1263.
À l’époque médiévale, la région de Loudéac et de ses alentours était principalement utilisée pour la chasse dans la forêt de Brocéliande.

Découvrez l’héritage des tisserands de Loudéac à travers leur histoire

Loudéac était autrefois le centre d’une industrie importante.

En 1567, des artisans venant de Flandre, contraints de quitter leur pays à cause de la guerre et des persécutions, se sont installés dans la région, apportant avec eux l’art du tissage et d’autres arts utiles.
Cette industrie, héritée de la prospère Flandre, s’est répandue dans toute la Bretagne, offrant une vie plus aisée à ses habitants.

L’époque moderne et l’industrie textile

Au XVIe siècle, Loudéac devient le centre d’une industrie importante, l’art des tisserands, introduit par des artisans venus de Flandre.

Les toiles bretonnes rivalisent bientôt avec celles des meilleurs artisans de Flandre.
Les « toiles de Bretagne » sont même exportées jusqu’en Inde, au Portugal et surtout en Espagne.
Au XVIIe et XVIIIe siècles, la Bretagne exportait avec succès ses « toiles de Bretagne » jusqu’en Amérique, et la population rurale se consacrait à la culture agricole en été et à la fabrication de toiles en hiver.
Loudéac, connue pour être le pays des tisserands, a alors atteint son apogée.
Cependant, avec la révolution industrielle, le déclin de cette industrie a commencé et a duré presque un siècle.

La production est organisée autour de quatre villes-marchés de Bretagne

La production est organisée autour de quatre villes-marchés, où les tisserands et les marchands échangent des fils et des toiles, ainsi que où les toiles sont contrôlées et marquées à partir du XVIIIe siècle.

Quintin est considérée comme la principale de ces villes-marchés en raison de son ancienneté, avec 83 marchands dans les années 1780, et 25 autres venant y commercer régulièrement.
Les marchés d’Uzel, Moncontour et surtout Loudéac ont également gagné en importance au fil du temps, bien que les négociants les plus influents soient probablement ceux de Quintin.
Les balles de toiles sont transportées par voie terrestre depuis ces quatre villes vers les ports d’exportation, principalement Nantes au XVIe siècle, puis Saint-Malo par la suite, ainsi que Morlaix de manière très secondaire.
Saint-Brieuc, quant à lui, n’a jamais vraiment profité de sa proximité avec la zone de production car son port du Légué est très exceptionnellement utilisé.

Aujourd’hui, l’histoire des tisserands de Loudéac reste un héritage précieux à découvrir.

Loudéac tisserand Gallica source Association bretonne

L’imprimerie De Loudéac en 1584

En 1584, la première imprimerie de Loudéac est créée à Bréhan-Loudéac.

Cet événement marque le début de l’histoire de l’imprimerie dans la ville.
Depuis cette époque, l’imprimerie a connu de nombreux changements technologiques et a été le témoin de la diffusion de la culture et du savoir.

La Révolution française et la persécution anticléricale

Au début de la Révolution française, Loudéac comptait 5 000 communiants et dix prêtres pour la paroisse.

Cependant, de nombreux prêtres ont été contraints de partir en exil pour échapper à la persécution anticléricale.
D’autres ont été cachés par les habitants de Loudéac, et les gendarmes dépêchés pour les arrêter fermaient souvent les yeux.

Au XIXe siècle, des changements politiques ont eu lieu à Loudéac.

En 1790, le canton de Loudéac est créé et la ville devient chef-lieu.
Cette situation perdure pendant dix ans jusqu’en 1800, année où Loudéac est établie comme chef-lieu d’arrondissement.
La commune de Cadélac est supprimée en 1792, et son territoire est rattaché temporairement à Loudéac, puis définitivement en 1830.

La destruction du Château de Loudéac

Le Château de Loudéac est contraint de passer aux mains de Louis Henri Janzé le 25 août 1802 après que le duc de Rohan se soit vu contraint de le céder.

Cependant, peu de temps après, dans la nuit du 19 au 20 septembre 1802, un incendie ravage le château.

Toutefois, la victoire de Jean V de Coëtquen, partisan du roi de France, contre les ligueurs de Jean d’Avaugour en 1591 lors de la Bataille des Trois Croix est encore commémorée par un monument du XXe siècle.

Ruines du Chateau de la Chèze. Corbière

Les premières courses hippiques de Loudéac en 1880

En 1880, les premières courses hippiques de Loudéac ont lieu à l’hippodrome de Calouët.

Cet événement marque l’arrivée de cette tradition sportive dans la ville.
Depuis lors, les courses hippiques ont été une attraction populaire pour les habitants de Loudéac et les visiteurs de passage.

Loudéac Courses hippiques

Loudéac est une ville riche en histoire, marquée par de nombreux événements importants.

De l’arrivée de l’imprimerie en 1584 à la première course hippique en 1880, ces événements ont contribué à façonner l’identité culturelle de la ville.
Aujourd’hui, ils témoignent de l’héritage et de la fierté de la communauté de Loudéac.

Idée de plan de tourisme généalogique autour de Loudéac

Carte plan circuit de tourisme généalogique

Rohan : Cette ville est située dans le département du Morbihan, en Bretagne. Elle est connue pour son château, le Château de Rohan, qui a été construit au XVIIe siècle.

Le château est aujourd’hui ouvert au public et offre une vue panoramique sur la ville.
La ville est également connue pour son église Saint-Joseph, qui a été construite au XVIIIe siècle.

Loudéac : Cette ville est située dans le département des Côtes-d’Armor, en Bretagne.

Elle est connue pour son château, le Château de Quellenec, qui date du XVIIe siècle.
La ville est également connue pour sa basilique Notre-Dame-de-Bon-Secours, qui a été construite au XIXe siècle.

Josselin : Cette ville est située dans le département du Morbihan, en Bretagne.

Elle est connue pour son château, le Château de Josselin, qui a été construit au XIIIe siècle.
Le château est aujourd’hui ouvert au public et abrite une collection de tapisseries anciennes.
La ville est également connue pour son église Sainte-Croix, qui a été construite au XVIe siècle.

Pontivy : Cette ville est située dans le département du Morbihan, en Bretagne.

Elle est connue pour son château, le Château des Rohan, qui a été construit au XVIIe siècle.
Le château est aujourd’hui ouvert au public et abrite un musée sur l’histoire de la ville.
La ville est également connue pour son église Saint-Joseph, qui a été construite au XIXe siècle.

Guémené-sur-Scorff : Cette ville est située dans le département du Morbihan, en Bretagne.

Elle est connue pour son château, le Château de Tronjoly, qui a été construit au XVIIe siècle.
Le château est aujourd’hui ouvert au public et abrite une collection de meubles anciens.
La ville est également connue pour son église Saint-Sauveur, qui a été construite au XVIIe siècle.

Saint-Brieuc, située dans le département des Côtes-d’Armor, en Bretagne :

La cathédrale Saint-Étienne : Cette cathédrale a été construite au XIIIe siècle et est un exemple impressionnant de l’architecture gothique en Bretagne.

Elle abrite également de belles vitraux.

Le musée d’Art et d’Histoire : Ce musée est situé dans l’ancien palais épiscopal de Saint-Brieuc, qui a été construit au XVIIIe siècle.

Il abrite une collection d’œuvres d’art et d’objets historiques, allant de l’Antiquité à l’époque contemporaine.

Le parc des Promenades : Ce parc est situé au centre de la ville et offre une belle promenade dans un cadre verdoyant.

Il comprend également un jardin botanique et une roseraie.

La chapelle Saint-Michel : Cette chapelle a été construite au XIIe siècle et est située sur une colline surplombant la ville.

Elle offre une vue panoramique sur la ville et la côte environnante.

Le château de Bienassis : Ce château est situé à environ 15 km de Saint-Brieuc et date du XVIe siècle.

Il est entouré d’un grand parc et offre des visites guidées pour découvrir son histoire et son architecture.

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Écrivain biographe & Généalogiste